En spoiler : C'est encore gentil ( Ou pas, tout dépend le point de vue de la personne en face ) mais je préfère encore prévenir on ne sait jamais ._. Alors pour ceux qui sont - très -sensible ou qui est - facilement - choqué sur ce sujet ne pas être curieux.

Spoiler:

Il faisait nuit noire dehors. Les nuages tout aussi sombres cachaient la lune et ses acolytes les étoiles, cachant donc le peu de lumières naturelles qu'il y avait. Les lumières des lampadaires éclairaient à peine la rue voisine. Les ruelles étaient vide et totalement silencieuse. Personne ne se promenait la nuit surtout dans cette partie là du quartier. Si ce n'est les chat aventureux de la nuit qui longeait les gouttières. Et puis .. Il pleuvait. Il pleuvait à grosse corde et je déteste la pluie, qui sans me demander mon avis s'abattait rapidement sur moi, en un rien de temps je fus trempé des pieds jusqu'à la pointe de mes oreilles félines qui tentait de se cacher dans ma chevelure. Pourtant, je reste là, planté là comme un imbécile et je ne bouge pas. Les yeux rivés sur le sol. Et soudainement je m'effondre et je tombe à genoux sur le trottoirs. Je me sens trembler de tout mon être. Pris de soudaine pulsions et comme pris de panique, je ressers mes bras contre autour de ma poitrine qui me fait horriblement souffrir, une douleur inconnue se creuse quelque part en moi. J'ai mal. Tellement mal. Horriblement mal. Ma mâchoire se ressert instinctivement. Et je sens une main se poser sur mon épaule. « Aller, ne fait pas l'imbécile et rentre avec moi. » Ni une ni deux je me retrouve une fois de plus dans cette chambre. Je me laisse docilement entraîner par l'homme qui se dirige vers la salle de bain. Il me déshabille, je suis nullement gène et lui non plus d'ailleurs, énergiquement il me pousse dans la douche où il m'assoit, il remonte les manches de sa chemise qu'il avait prit le temps d'enfiler avant de me chercher dehors. Il allume le jet malgré le fait qu'il s'avait que je détestais l'eau. Que voulez-vous ? Mes gênes de chat prend souvent le dessus. Mes paupières se fermèrent alors que les mains de l'homme glissait sur mon corps. « Cela vas surement te faire plaisir. Il ne te reste que quelque jours à passer en ma compagnie. » Je ne bronchais pas. Je l'entendis soupirer. « Malheureusement il faut que .. Je parte. Ses mains vinrent s'attaquer à ma chevelure. Alors j'ai décidé de t'inscrire dans un internat. Je pense que tu pourrais t'y plaire. Je viendrais te voir. » Menteur. Et puis je ne ressentis plus rien. Tu avais cessés tes gestes. Mes yeux s'ouvrirent et je me retournais pour te faire face, ton regard poser sur le sol, tes cheveux cachaient ton visage. De ma mains en bonne état je t'attrapais le menton pour t'obliger à me regarder. Je t'attirais à moi et t'embrassais.

Les jours passés avec toi passèrent vite, un peu trop vite. Étrangement quitter mon bourreau ne me faisait ni chaud ni froid, pour certains ce serait : Le moment de délivrance mais pas pour moi au contraire .. Le moteur de la voiture cessait et les grilles de l'académie s'ouvrait.

my character...